Bilhete manuscrito de Auguste François Perrinon (1850)

Note manuscrite d'Auguste François Perrinon (1850)

Le député abolitionniste français écrit avec passion que le travail libre est possible et nécessaire.

Texte rédigé par le député abolitionniste français Auguste François Perrinon. En français. Une page. 26,2 cm x 37,5 cm. Paris, 6 juillet 1850. Excellent état.

Il n’y a rien de plus précieux pour l’Homme que la liberté de son être. Aucun sacrifice ne devrait vous coûter quoi que ce soit pour le gagner, lorsqu'il a été volé. Si les Noirs ont été esclaves pendant si longtemps, c'est parce que leurs yeux ont été bandés par l'ignorance, pour les empêcher de lire cette vérité partout où elle est écrite, et parce qu'elle a été étouffée dans leurs cœurs, avec l'avilissement de la vérité. la coercition du fouet. , le sentiment de votre force et de votre droit.

Élevé dans une famille noire sur l'île caribéenne de la Martinique, Auguste François Perrinon (1812 - 1861) accomplit une prestigieuse formation militaire en France, devient député et publie en 1847 un livre dans lequel il explique que « le travail effectué par les esclaves Cela pourrait très bien être réalisé par des personnes libres et à un coût égal. »

Il est alors invité à rejoindre la Commission pour l'abolition de l'esclavage, organisée par son ami Victor Schoelcher.

Pourquoi ce document est-il rare ?

Perrinon a écrit ce texte vibrant et historique pour célébrer sa grande victoire, l'abolition officielle de l'esclavage dans les colonies françaises des Caraïbes en 1848.

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